Le témoignage que la porn star et escort Pablo Bravo vient d’accorder à Garçon Magazine choque par sa franchise inhabituelle. Peut-être parce qu’il est un étranger à Paris, peut-être aussi parce qu’il compte parmi ses clients des hommes puissants, il se sent libre de s’exprimer sans filtre sur la prostitution gay parisienne et la consommation de drogue qui y est intrinsèquement liée. Extraits :
« Les drogues sont très en vogue dans la vie sexuelle de la communauté gay parisienne. Un escort n’a que deux options : baiser au beau milieu de ces stupéfiants ou sombrer dedans. Les éviter, c’est impossible. »
C’est dit !
Il y a des clients qui, complètement « stone », partent en vrille et deviennent menaçants. Si Pablo affirme que, lui, il a toujours su sélectionner des hommes « cool et bien élevés, qui maîtrisent leur comportement », il connaît des escorts qui ont dû déménager à cause de mecs rendus dingues par la drogue.
Ça fait peur !
Un escort peut-il dire NON au chemsex. OUI ! Mais alors il perd le client qui pensera qu’il n’est pas « cool ». Pablo consomme lui la drogue que ramène ses clients « pour faire plaisir et pour mieux éviter d’en prendre ensuite. »
Vraiment !?
Le fait que soit possible aujourd’hui un tel article avec ce titre Pablo Bravo, escort « chemsex » friendly et bien performant témoigne d’une réalité sociologique qui se prétend supérieure au droit. C’est comme si le chemsex devenait un passage obligé pour qui veut « s’éclater » gay.Malgré les morts, malgré les personnes souffrant de troubles psychologiques à cause de ses drogues, il y a tout un discours formaté par des éléments de langage pour minorer ses réels dangers.Bien sûr, ça choque et ça en attriste beaucoup de constater que la communauté gay embrasse des pratiques suicidaires. Quant à l’escorting gay, c’est indiscutablement un métier encore plus à risque du fait de la banalisation du chemsex.
« Les drogues sont très en vogue dans la vie sexuelle de la communauté gay parisienne. Un escort n’a que deux options : baiser au beau milieu de ces stupéfiants ou sombrer dedans. Les éviter, c’est impossible. »
C’est dit !
Il y a des clients qui, complètement « stone », partent en vrille et deviennent menaçants. Si Pablo affirme que, lui, il a toujours su sélectionner des hommes « cool et bien élevés, qui maîtrisent leur comportement », il connaît des escorts qui ont dû déménager à cause de mecs rendus dingues par la drogue.
Ça fait peur !
Un escort peut-il dire NON au chemsex. OUI ! Mais alors il perd le client qui pensera qu’il n’est pas « cool ». Pablo consomme lui la drogue que ramène ses clients « pour faire plaisir et pour mieux éviter d’en prendre ensuite. »
Vraiment !?
Le fait que soit possible aujourd’hui un tel article avec ce titre Pablo Bravo, escort « chemsex » friendly et bien performant témoigne d’une réalité sociologique qui se prétend supérieure au droit. C’est comme si le chemsex devenait un passage obligé pour qui veut « s’éclater » gay.Malgré les morts, malgré les personnes souffrant de troubles psychologiques à cause de ses drogues, il y a tout un discours formaté par des éléments de langage pour minorer ses réels dangers.Bien sûr, ça choque et ça en attriste beaucoup de constater que la communauté gay embrasse des pratiques suicidaires. Quant à l’escorting gay, c’est indiscutablement un métier encore plus à risque du fait de la banalisation du chemsex.
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