À partir de la nuit du dimanche 16 février à minuit, l'excellent label allemand Frankfurt Sex Stories est diffusé sur PinkX. Le premier film, Frankfurt Orgies, réunit trois scènes hot avec des modèles inédits, à l'exception de Hans Berlin et de John Benner. Un événement qui s'accompagne d'une mise en bouche avec cette interview exclusive de son fondateur : Nick Mazzaro. Un nom loin d'être inconnu pour les fans de porno…
La première fois que ton nom a été associé au X gay, c'était comme porn star. En 2005-2006 tu as tourné aux États-Unis principalement. D’ailleurs, pas grand monde devait savoir que tu étais Allemand. Je te croyais Italo-américain.Nick Mazzaro : Je suis d'origine grecque et italienne. je suis né et j'ai grandi en Allemagne. Je suis citoyen allemand et j'ai une certaine mentalité allemande. Mais je n'oublie jamais d'où je viens. Mazzaro est le nom de jeune fille de ma mère, qui est originaire de Venise, en Italie. J’aimais ce nom et j’ai pensé que ce serait un bon choix comme nom de scène.
Quelles étaient tes activités professionnelles avant le porno ?J'étais stripteaseur, principalement pour un public hétéro, et j'ai eu beaucoup de succès là dedans. Un jour, alors qu’on avait loué mes services pour des spectacles de striptease à Los Angeles, j'ai rencontré un talent scout qui cherchait de nouveaux modèles pour le porno gay. Au début, je n'étais pas très intéressé car je n'ai jamais eu l'ambition de devenir un acteur porno. Mais ce gars a si bien insisté qu'il m'a finalement convaincu de rencontrer un producteur et c'est là que tout a commencé.
Te souviens-tu de ta première scène?Oui bien sûr, c'était un trio pour Mustang Studios qui faisait alors partie de Falcon Studios. Son titre était «Trapped». Nous avons commencé à tourner à 9h du matin pour finir à 20h.
Dure la journée !!! Quels étaient tes partenaires et le réalisateur ?Il y avait Michael Soldier, qui était à l'époque une porn star très célèbre et expérimentée, soit dit en passant un gars très gentil, et Mark Hansford, un Franco-américain. Le réalisateur était John Bruno. Je me souviens encore quand il m'a demandé avant le tournage si j'étais nerveux et que je lui ai dit «Non». Il a été assez surpris de ma réponse. Je ne sais pas pourquoi, mais pour une raison quelconque j'étais très détendu, pas du tout nerveux. je suppose que j'étais mentalement préparé à cela.
Nick Mazzaro avec Michael Soldier et Mark Hansford dans Trapped 1 sorti en 2006. Premier titre qui marquait alors la refonte de Mustang Studios, l'un des labels mythiques de Falcon : changement de logo, nouveau réalisateur attitré, John Bruno, et mise en valeur de modèles virils.
Tout s'est-il passé comme tu l’imaginais, ou était-ce mieux ou pire ?Tout était super, tout s’est très bien passé. Toute l'équipe et tous ceux qui ont participé au tournage étaient très sympathiques, très gentils, très professionnels aussi. J’ai été très impressionné par le dévouement et le professionnalisme de tout le monde.
Quelles sont les meilleures choses que tu as vécues dans l'industrie du porno pendant ta période porn star ?Tout d'abord, plusieurs choses à dire. Le porno est un travail difficile pour tous ceux qui y participent. Nous nous sommes amusés sur les tournages mais pour moi, c'était du travail et c'était important de faire de mon mieux pour que moi et les autres soyons satisfaits de ma performance. Il y a beaucoup de gars qui veulent faire du porno pour vivre leurs fantasmes sexuels. Si c'est leur principale motivation, qu’ils évitent. Enfin, faire du porno ne fera pas de vous un millionnaire. La bonne chose à propos du porno est que vous rencontrez beaucoup de gens intéressants qui pensent pareil que vous et qui se considèrent comme appartenant tous à une même grande famille.
Des mauvaises expériences?Oui, il y avait des gars qui se droguaient pendant les tournages, ce que je n'ai jamais aimé et jamais soutenu. Si quelqu'un a besoin de drogues pour faire du porno, il n'est pas fait pour ça.
Nick Mazzaro a aussi tourné entre autres dans Cuma Sutra (Black Scorpion Video), Delinquents (All Worlds) et Men at Work 1 (Alphamale Media).
Pourquoi as-tu arrêté ta carrière de porn star ?J'ai passé quelque temps aux États-Unis pour le porno. Mais j'avais le mal du pays, je voulais retourner en Europe. Le mode de vie européen me manquait, ma famille et mes amis aussi et c'était plus important pour moi que ma carrière. Comme je suis quelqu’un de très émotif, j'écoute toujours ce que me dit mon cœur. Être heureux est ma devise. J’ai alors tout abandonné et je suis retourné en Allemagne.
Selon iafd, tu n’as jamais joué dans des scènes produite en Allemagne. Pourquoi ?J’ai eu beaucoup de chance de travailler avec les grands studios américains. J'étais donc habitué à des normes très professionnelles et je voulais m'y tenir. Le porno européen est plus amateur, mais il y a encore quelques bons pornos made in Europe.
Et ton label en fait partie ! À partir de ce mois, dans la nuit du dimanche 16 février à minuit, PinkX commence à diffuser tes réalisations. Le premier titre, « Frankfurt Orgies », réunit « Sex Addicts », « Bare Bath House » et « Cock Hunters » avec la super porn star Hans Berlin.
Sur YouTube, on peut regarder le savoureux « Behind The Scenes » de « Cock Hunters ». Tu t'y montres. Tu es toujours beau mec !Merci pour ton compliment. Je suis très heureux et très honoré de travailler avec PinkX. Cela me motive à essayer de faire toujours mieux encore !
https://www.youtube.com/watch?v=Ps6aKsbrGtk&vl=de
Quand et pourquoi as-tu décidé de créer ton propre label ?Tout a commencé il y a environ deux ans. Un couple gay que je connaissais m'a demandé de les filmer pour leur propre utilisation privée. La vidéo s'est avérée si bonne qu’ils en ont été très impressionnés. Depuis lors, je savais que c'est ce que j’allais faire : du porno gay de qualité tourné en Allemagne.
Quelles sont les histoires types de Frankfurt Sex Stories ?Ils s’agit de rencontres sexe en Allemagne. L'accent est mis sur le mode de vie, la culture, des lieux allemands, avec principalement des mecs hot qui y vivent. Certaines histoires sont de vraies histoires. J'essaie alors, autant que possible, d’apporter ce sentiment d’authenticité.
Certains modèles sont-ils tes exclusifs ?Oui, j'ai des modèles exclusifs. Et je suis toujours intéressé par les nouveaux qui aiment se montrer et baiser devant la caméra.
T'es beau mec, tu as un passé de porn star et je suis surpris de ne pas te voir en action dans tes productions. Je préfère être derrière la caméra pour être plus créatif et avoir plus de contrôle sur tout. Ma carrière d'acteur porno est terminée depuis longtemps. J'ai apprécié ce moment et je ne l'ai jamais regretté. Je regarde toujours en avant, prêt pour de nouveaux défis.
Permets-moi de revenir sur ton passé afin de mieux comprendre le temps présent. En quoi les tournages porno de 2020 sont-ils différents des tournages de l'époque où tu étais une porn star ?Il y a effectivement une grande différence. De nos jours, il y a moins de pornos de qualité qui sont produits. Tout est en ligne et il y a une abondance de pornos à petit budget et de faible qualité. La quantité a pris le dessus sur la qualité. Au cours de ma carrière d’acteur porno, les studios étaient très désireux de produire du X de haute qualité et ils y investissaient beaucoup d'argent. Je me souviens encore quand Chi Chi LaRue, dont je suis un grand fan, m'a dit que dans quelques années il y aurait beaucoup de pornos de mauvaise qualité sur Internet et elle avait raison. C’est ce qui s'est passé. Le porno est devenu aujourd'hui un produit de consommation à la demande qui peut être consommé à tout moment et partout. Internet a détruit la qualité du porno. C’est une chose très triste mais c’est comme ça.
Comment vois-tu ton avenir dans le porno gay ?Je veux faire toujours mieux et produire de très bons pornos. J'apprends toujours et mon rêve est de travailler avec les grands noms du business.
Quelque chose d'important à ajouter?Croyez en vous et en vos rêves, apprenez de vos erreurs, n'abandonnez jamais. Faites de votre mieux pour réaliser vos rêves.
La première fois que ton nom a été associé au X gay, c'était comme porn star. En 2005-2006 tu as tourné aux États-Unis principalement. D’ailleurs, pas grand monde devait savoir que tu étais Allemand. Je te croyais Italo-américain.Nick Mazzaro : Je suis d'origine grecque et italienne. je suis né et j'ai grandi en Allemagne. Je suis citoyen allemand et j'ai une certaine mentalité allemande. Mais je n'oublie jamais d'où je viens. Mazzaro est le nom de jeune fille de ma mère, qui est originaire de Venise, en Italie. J’aimais ce nom et j’ai pensé que ce serait un bon choix comme nom de scène.
Quelles étaient tes activités professionnelles avant le porno ?J'étais stripteaseur, principalement pour un public hétéro, et j'ai eu beaucoup de succès là dedans. Un jour, alors qu’on avait loué mes services pour des spectacles de striptease à Los Angeles, j'ai rencontré un talent scout qui cherchait de nouveaux modèles pour le porno gay. Au début, je n'étais pas très intéressé car je n'ai jamais eu l'ambition de devenir un acteur porno. Mais ce gars a si bien insisté qu'il m'a finalement convaincu de rencontrer un producteur et c'est là que tout a commencé.
Te souviens-tu de ta première scène?Oui bien sûr, c'était un trio pour Mustang Studios qui faisait alors partie de Falcon Studios. Son titre était «Trapped». Nous avons commencé à tourner à 9h du matin pour finir à 20h.
Dure la journée !!! Quels étaient tes partenaires et le réalisateur ?Il y avait Michael Soldier, qui était à l'époque une porn star très célèbre et expérimentée, soit dit en passant un gars très gentil, et Mark Hansford, un Franco-américain. Le réalisateur était John Bruno. Je me souviens encore quand il m'a demandé avant le tournage si j'étais nerveux et que je lui ai dit «Non». Il a été assez surpris de ma réponse. Je ne sais pas pourquoi, mais pour une raison quelconque j'étais très détendu, pas du tout nerveux. je suppose que j'étais mentalement préparé à cela.
Nick Mazzaro avec Michael Soldier et Mark Hansford dans Trapped 1 sorti en 2006. Premier titre qui marquait alors la refonte de Mustang Studios, l'un des labels mythiques de Falcon : changement de logo, nouveau réalisateur attitré, John Bruno, et mise en valeur de modèles virils.
Tout s'est-il passé comme tu l’imaginais, ou était-ce mieux ou pire ?Tout était super, tout s’est très bien passé. Toute l'équipe et tous ceux qui ont participé au tournage étaient très sympathiques, très gentils, très professionnels aussi. J’ai été très impressionné par le dévouement et le professionnalisme de tout le monde.
Quelles sont les meilleures choses que tu as vécues dans l'industrie du porno pendant ta période porn star ?Tout d'abord, plusieurs choses à dire. Le porno est un travail difficile pour tous ceux qui y participent. Nous nous sommes amusés sur les tournages mais pour moi, c'était du travail et c'était important de faire de mon mieux pour que moi et les autres soyons satisfaits de ma performance. Il y a beaucoup de gars qui veulent faire du porno pour vivre leurs fantasmes sexuels. Si c'est leur principale motivation, qu’ils évitent. Enfin, faire du porno ne fera pas de vous un millionnaire. La bonne chose à propos du porno est que vous rencontrez beaucoup de gens intéressants qui pensent pareil que vous et qui se considèrent comme appartenant tous à une même grande famille.
Des mauvaises expériences?Oui, il y avait des gars qui se droguaient pendant les tournages, ce que je n'ai jamais aimé et jamais soutenu. Si quelqu'un a besoin de drogues pour faire du porno, il n'est pas fait pour ça.
Nick Mazzaro a aussi tourné entre autres dans Cuma Sutra (Black Scorpion Video), Delinquents (All Worlds) et Men at Work 1 (Alphamale Media).
Pourquoi as-tu arrêté ta carrière de porn star ?J'ai passé quelque temps aux États-Unis pour le porno. Mais j'avais le mal du pays, je voulais retourner en Europe. Le mode de vie européen me manquait, ma famille et mes amis aussi et c'était plus important pour moi que ma carrière. Comme je suis quelqu’un de très émotif, j'écoute toujours ce que me dit mon cœur. Être heureux est ma devise. J’ai alors tout abandonné et je suis retourné en Allemagne.
Selon iafd, tu n’as jamais joué dans des scènes produite en Allemagne. Pourquoi ?J’ai eu beaucoup de chance de travailler avec les grands studios américains. J'étais donc habitué à des normes très professionnelles et je voulais m'y tenir. Le porno européen est plus amateur, mais il y a encore quelques bons pornos made in Europe.
Et ton label en fait partie ! À partir de ce mois, dans la nuit du dimanche 16 février à minuit, PinkX commence à diffuser tes réalisations. Le premier titre, « Frankfurt Orgies », réunit « Sex Addicts », « Bare Bath House » et « Cock Hunters » avec la super porn star Hans Berlin.
Sur YouTube, on peut regarder le savoureux « Behind The Scenes » de « Cock Hunters ». Tu t'y montres. Tu es toujours beau mec !Merci pour ton compliment. Je suis très heureux et très honoré de travailler avec PinkX. Cela me motive à essayer de faire toujours mieux encore !
https://www.youtube.com/watch?v=Ps6aKsbrGtk&vl=de
Quand et pourquoi as-tu décidé de créer ton propre label ?Tout a commencé il y a environ deux ans. Un couple gay que je connaissais m'a demandé de les filmer pour leur propre utilisation privée. La vidéo s'est avérée si bonne qu’ils en ont été très impressionnés. Depuis lors, je savais que c'est ce que j’allais faire : du porno gay de qualité tourné en Allemagne.
Quelles sont les histoires types de Frankfurt Sex Stories ?Ils s’agit de rencontres sexe en Allemagne. L'accent est mis sur le mode de vie, la culture, des lieux allemands, avec principalement des mecs hot qui y vivent. Certaines histoires sont de vraies histoires. J'essaie alors, autant que possible, d’apporter ce sentiment d’authenticité.
Certains modèles sont-ils tes exclusifs ?Oui, j'ai des modèles exclusifs. Et je suis toujours intéressé par les nouveaux qui aiment se montrer et baiser devant la caméra.
T'es beau mec, tu as un passé de porn star et je suis surpris de ne pas te voir en action dans tes productions. Je préfère être derrière la caméra pour être plus créatif et avoir plus de contrôle sur tout. Ma carrière d'acteur porno est terminée depuis longtemps. J'ai apprécié ce moment et je ne l'ai jamais regretté. Je regarde toujours en avant, prêt pour de nouveaux défis.
Permets-moi de revenir sur ton passé afin de mieux comprendre le temps présent. En quoi les tournages porno de 2020 sont-ils différents des tournages de l'époque où tu étais une porn star ?Il y a effectivement une grande différence. De nos jours, il y a moins de pornos de qualité qui sont produits. Tout est en ligne et il y a une abondance de pornos à petit budget et de faible qualité. La quantité a pris le dessus sur la qualité. Au cours de ma carrière d’acteur porno, les studios étaient très désireux de produire du X de haute qualité et ils y investissaient beaucoup d'argent. Je me souviens encore quand Chi Chi LaRue, dont je suis un grand fan, m'a dit que dans quelques années il y aurait beaucoup de pornos de mauvaise qualité sur Internet et elle avait raison. C’est ce qui s'est passé. Le porno est devenu aujourd'hui un produit de consommation à la demande qui peut être consommé à tout moment et partout. Internet a détruit la qualité du porno. C’est une chose très triste mais c’est comme ça.
Comment vois-tu ton avenir dans le porno gay ?Je veux faire toujours mieux et produire de très bons pornos. J'apprends toujours et mon rêve est de travailler avec les grands noms du business.
Quelque chose d'important à ajouter?Croyez en vous et en vos rêves, apprenez de vos erreurs, n'abandonnez jamais. Faites de votre mieux pour réaliser vos rêves.
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