Exclusif de Falcon Studios, Devin Franco vit son confinement dans un appartement qu’il partage à Hollywood avec un autre acteur porno, Dakota Payne. Interrogé sur la pandémie de COVID-19 par AVN, le superbe Américain raconte son quotidien et fait part de ses angoisses et espoirs. Extraits :
« J’essaie de m'occuper dans la cuisine, à cuire des plats, je lis, je travaille sur un collage, je m'assure d'avoir du contenu à partager, je joue à des jeux vidéo et je regarde la télévision. Mais même avec beaucoup de choses à faire, le confinement commence à me toucher mentalement et émotionnellement. Je ne suis pas la personne la plus sociable, mais j'ai toujours envie de côtoyer mes amis, de rencontrer de nouvelles personnes et de baiser avec des mecs. De plus, l'avenir est tellement incertain. Il est difficile de planifier quoi que ce soit lorsque le sol se dérobe constamment sous ses pieds. Je souhaite que les choses reviennent à la normale, mais je sais que c'est peu probable. Je n'ai juste aucune idée de ce que sera la nouvelle normalité. »
Ne pas pouvoir aller en salle de sport est sans doute ce qui lui manque le plus :« La salle de sport est mon temple et chaque jour j'attends avec impatience sa réouverture. J'ai construit une grande partie de ma vie autour d’objectifs à atteindre en matière de musculation. Perdre l’accès à la salle de sport et perdre certains progrès que j'ai accomplis, c’est frustrant et démoralisant. Mais je réadapte mes exercices de fitness et j’essaie de trouver d'autres moyens pour maintenir ma force et ma forme. »
Si Devin ne va pas sur les applis pour se trouver des plans cul, il se refuse de condamner ceux qui le font malgré le confinement :« Cela ne me surprend pas. C’est le comportement humain. En fait, si on enlevait ces applications maintenant, on se rassemblerait dans les buissons, dans un parc, au milieu de la nuit, ce qui serait pire! On n'empêchera pas les gens de baiser même au milieu d'une catastrophe (on ferait mieux de croire qu'il y avait des gens qui baisaient sur le Titanic pendant qu'il coulait). Et ce n'est pas parce qu’on rencontrera un mec pour lui sucer la queue qu’on arrêtera de porter son masque dans un grand magasin… »
Et de préciser comment il imagine concilier sexualité, tournage et réduction des risques pour soi et les autres :« Aller voir un ami, parfois, ou faire une vidéo en tête-à-tête avec quelqu'un, ce n'est quand même pas la même chose que d'aller à une fête ou à une partouze. Faire du contenu avec une autre personne ne signifie pas qu’on ne continue pas de porter un masque dans les lieux publics ou qu’on cesse complètement la distanciation sociale. Ce virus ne disparaîtra pas, même si nous avons un vaccin. Nous allons devoir nous adapter et continuer notre vie. Mais il n'y a aussi rien de mal à une bonne vidéo solo. Où l'on se branle ou l'on fait joujou avec des sex-toys. »
Et à la question précise de ce que lui a enseigné le COVID-19 :« Il a révélé les failles de notre gouvernement, de nos systèmes de santé et de protection sociale. Nous sommes conscients de nos problèmes, nous nous battons pour les résoudre, mais nous ne faisons en fait jamais rien. Nous ne nous dirigeons jamais réellement vers le progrès, nous restons dans nos petites luttes. C'est pourquoi nous avons les taux d'infection et de mortalité les plus élevés. Tout ce que nous avons fait au cours des 40 dernières années nous a préparés à ce spectacle d'échec spécifiquement américain. Même maintenant, au milieu de la pandémie, nous nous querellons et ne pouvons nous unir sur une réponse. Toute réponse devient de ce fait inutile et dénuée de sens.Nous devons mettre fin à cette culture d'opposition systématique, simplement parce qu’une idée contraire existe. Nous devons accepter les faits et la vérité, ne pas les fuir aveuglément. Nous devons accorder à la science plus de respect et commencer à la prendre plus au sérieux. Les gens nient le changement climatique, nient l'évolution ou pensent même que la terre est complètement plate. Mais ces mêmes personnes acceptent et exigent que leurs téléphones et appareils électroniques soient connectés à Internet. Ils acceptent que les avions les fassent voler sans se poser de questions.Et lorsque le monde fait face à une pandémie qui arrête notre économie, ces mêmes personnes se tournent désespérément vers la science pour obtenir des réponses et de l'aide. Nous ne pouvons plus accepter le déni sélectif de la science. À tout le moins, nous ne devons pas le prendre au sérieux ni lui donner une quelconque validité… Nous ne progresserons jamais si nous pensons que les personnes qui nient la science apportent avec leurs opinions une valeur ajoutée à une discussion. Leurs opinions ne valent pas la peine d'être assimilées à la science et à la logique. Nous devons cesser de les promouvoir en tant que telles. »
La voix de la sagesse ? Compte tenu du contexte états-unien, bien sûr. Dans le sombre constat que dresse Devin de son pays, on pense à Trump, à Fox News et à ses évangélistes fous de Dieu. Rappelons toutefois que la science et la logique peuvent aussi justifier l'horreur : production d'armes effroyables, mutilations expérimentales, destruction de l'environnement, paupérisation et stigmatisation de populations, etc.« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. »
Devin Franco, un corps et un esprit qui ne laissent pas indifférent !- Photos : Tales From The Locker Room / Falcon Studios
« J’essaie de m'occuper dans la cuisine, à cuire des plats, je lis, je travaille sur un collage, je m'assure d'avoir du contenu à partager, je joue à des jeux vidéo et je regarde la télévision. Mais même avec beaucoup de choses à faire, le confinement commence à me toucher mentalement et émotionnellement. Je ne suis pas la personne la plus sociable, mais j'ai toujours envie de côtoyer mes amis, de rencontrer de nouvelles personnes et de baiser avec des mecs. De plus, l'avenir est tellement incertain. Il est difficile de planifier quoi que ce soit lorsque le sol se dérobe constamment sous ses pieds. Je souhaite que les choses reviennent à la normale, mais je sais que c'est peu probable. Je n'ai juste aucune idée de ce que sera la nouvelle normalité. »
Ne pas pouvoir aller en salle de sport est sans doute ce qui lui manque le plus :« La salle de sport est mon temple et chaque jour j'attends avec impatience sa réouverture. J'ai construit une grande partie de ma vie autour d’objectifs à atteindre en matière de musculation. Perdre l’accès à la salle de sport et perdre certains progrès que j'ai accomplis, c’est frustrant et démoralisant. Mais je réadapte mes exercices de fitness et j’essaie de trouver d'autres moyens pour maintenir ma force et ma forme. »
Si Devin ne va pas sur les applis pour se trouver des plans cul, il se refuse de condamner ceux qui le font malgré le confinement :« Cela ne me surprend pas. C’est le comportement humain. En fait, si on enlevait ces applications maintenant, on se rassemblerait dans les buissons, dans un parc, au milieu de la nuit, ce qui serait pire! On n'empêchera pas les gens de baiser même au milieu d'une catastrophe (on ferait mieux de croire qu'il y avait des gens qui baisaient sur le Titanic pendant qu'il coulait). Et ce n'est pas parce qu’on rencontrera un mec pour lui sucer la queue qu’on arrêtera de porter son masque dans un grand magasin… »
Et de préciser comment il imagine concilier sexualité, tournage et réduction des risques pour soi et les autres :« Aller voir un ami, parfois, ou faire une vidéo en tête-à-tête avec quelqu'un, ce n'est quand même pas la même chose que d'aller à une fête ou à une partouze. Faire du contenu avec une autre personne ne signifie pas qu’on ne continue pas de porter un masque dans les lieux publics ou qu’on cesse complètement la distanciation sociale. Ce virus ne disparaîtra pas, même si nous avons un vaccin. Nous allons devoir nous adapter et continuer notre vie. Mais il n'y a aussi rien de mal à une bonne vidéo solo. Où l'on se branle ou l'on fait joujou avec des sex-toys. »
Et à la question précise de ce que lui a enseigné le COVID-19 :« Il a révélé les failles de notre gouvernement, de nos systèmes de santé et de protection sociale. Nous sommes conscients de nos problèmes, nous nous battons pour les résoudre, mais nous ne faisons en fait jamais rien. Nous ne nous dirigeons jamais réellement vers le progrès, nous restons dans nos petites luttes. C'est pourquoi nous avons les taux d'infection et de mortalité les plus élevés. Tout ce que nous avons fait au cours des 40 dernières années nous a préparés à ce spectacle d'échec spécifiquement américain. Même maintenant, au milieu de la pandémie, nous nous querellons et ne pouvons nous unir sur une réponse. Toute réponse devient de ce fait inutile et dénuée de sens.Nous devons mettre fin à cette culture d'opposition systématique, simplement parce qu’une idée contraire existe. Nous devons accepter les faits et la vérité, ne pas les fuir aveuglément. Nous devons accorder à la science plus de respect et commencer à la prendre plus au sérieux. Les gens nient le changement climatique, nient l'évolution ou pensent même que la terre est complètement plate. Mais ces mêmes personnes acceptent et exigent que leurs téléphones et appareils électroniques soient connectés à Internet. Ils acceptent que les avions les fassent voler sans se poser de questions.Et lorsque le monde fait face à une pandémie qui arrête notre économie, ces mêmes personnes se tournent désespérément vers la science pour obtenir des réponses et de l'aide. Nous ne pouvons plus accepter le déni sélectif de la science. À tout le moins, nous ne devons pas le prendre au sérieux ni lui donner une quelconque validité… Nous ne progresserons jamais si nous pensons que les personnes qui nient la science apportent avec leurs opinions une valeur ajoutée à une discussion. Leurs opinions ne valent pas la peine d'être assimilées à la science et à la logique. Nous devons cesser de les promouvoir en tant que telles. »
La voix de la sagesse ? Compte tenu du contexte états-unien, bien sûr. Dans le sombre constat que dresse Devin de son pays, on pense à Trump, à Fox News et à ses évangélistes fous de Dieu. Rappelons toutefois que la science et la logique peuvent aussi justifier l'horreur : production d'armes effroyables, mutilations expérimentales, destruction de l'environnement, paupérisation et stigmatisation de populations, etc.« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. »
Devin Franco, un corps et un esprit qui ne laissent pas indifférent !- Photos : Tales From The Locker Room / Falcon Studios
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